Le plastique est partout, même dans l’organisme humain. C’est ce que révèle une étude menée par l’association française On est prêt, qui a analysé un échantillon de cheveux de dix-neuf personnalités diverses : artistes, créateurs, scientifiques. Les résultats sont frappants : tous présentent des signes de contamination par six à dix additifs dangereux.
Pollution capillaire, un problème généralisé #
Les chercheurs estiment que ces chiffres sont représentatifs de la population française. Cette pollution capillaire s’avère ainsi inquiétante puisqu’elle témoigne d’une présence envahissante de microplastiques dans nos vies, avec des effets néfastes possibles notamment sur les fœtus durant la grossesse.
Un problème trop souvent sous-estimé #
L’étude met en exergue le fait que malgré toutes les précautions prises pour éviter cette pollution capillaire, comme adopter des habitudes d’hygiène strictes, nous restons exposés à une contamination environnementale. Ainsi, il importe de modifier notre mode de vie pour limiter notre exposition aux plastiques.
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Quels sont les modes de contamination ?
La pollution capillaire provient de différentes sources : les emballages alimentaires en plastique, les vêtements synthétiques et les cosmétiques. Les microplastiques se trouvent également dans l’atmosphère que nous respirons quotidiennement.
Comment limiter notre exposition ? #
Pour lutter contre cette contamination généralisée, il est essentiel d’adopter des gestes simples au quotidien, tels que réduire la consommation d’aliments enveloppés dans du plastique, choisir des textiles naturels ou encore privilégier des cosmétiques exempts de microplastiques.
L’action des pouvoirs publics
Bien que ces changements personnels soient importants, ils ne suffisent pas. Les organisations internationales ont également un rôle à jouer pour sensibiliser le grand public et légiférer sur cette question cruciale.
Des publications pour mieux comprendre les enjeux environnementaux #
Dans un effort continu d’information, Futura propose régulièrement des dossiers centrés sur les défis environnementaux contemporains et futurs.
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Futura, un média scientifique engagé
Avec 148 pages consacrées à divers thèmes environnementaux dans le numéro 4, Futura s’affirme comme un média indépendant et engagé. On y trouve notamment une enquête sur les déchets mondiaux, des focus sur certains animaux menacés, ainsi que des rubriques sur l’évolution de la technologie et ses enjeux écologiques.
En somme, les résultats alarmants de l’étude menée par On est prêt nous rappellent que la pollution capillaire est un problème préoccupant, qui exige une prise de conscience individuelle et collective. En outre, pour être mieux informé et agir en conséquence, consulter des publications scientifiques engagées telles que Futura peut s’avérer précieux dans notre quête de préservation de notre environnement.
