Un acte insensé en hôpital : brancardier agressé par des visiteurs impatients, en soins intensifs – Qui est l’agresseur en fuite ?

Un évènement inattendu s'est produit dans l'enceinte de l'hôpital de Challans en Vendée.

Une attaque brutale sur un brancardier #

Un brancardier, dans l’exercice de ses fonctions, a été victime d’une agression particulièrement sauvage. Les responsables de cette attaque étaient des proches d’un patient insatisfaits de la rapidité des soins. Ils ont décidé de semer le chaos dans l’établissement.

Le matin de l’incident, un patient s’est présenté aux urgences pour une brûlure. Cependant, ses accompagnateurs ont jugé que la prise en charge n’était pas assez rapide. Dans un accès de rage, ils ont commencé à tout saccager à l’entrée des urgences. Le brancardier, qui prenait sa pause sur le parking, a été pris pour cible et sauvagement malmené.

L’agresseur en fuite et l’enquête en cours #

L’agression s’est déroulée en un quart d’heure après leur arrivée à l’hôpital. Selon les déclarations de la procureure de la République des Sables-d’Olonne, Gwenaëlle Cotto, un seul individu a porté les coups, bien qu’il était accompagné d’autres personnes. L’agresseur a pris la fuite et une enquête pour « violences contre personnel médical » a été ouverte par le parquet pour le retrouver.

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Le président du Samu-Urgences de France, Marc Noizet, a confirmé que la victime, un brancardier, a été laissé au sol, inconscient. Suite à cette attaque, le brancardier a subi de graves blessures, nécessitant son admission en soins intensifs.

Les conséquences de l’agression #

Cet acte de violence a eu des répercussions importantes sur le fonctionnement de l’hôpital. Le service des urgences a dû être fermé pendant plusieurs heures. Les équipes de l’établissement, profondément choquées, ont bénéficié d’une cellule de soutien psychologique.

Le ministre délégué à la Santé, Frédéric Valletoux, a qualifié l’agression d' »acte odieux et lâche ». Il a rappelé que « l’hôpital est un sanctuaire » où aucune violence envers le personnel ne peut être tolérée. Marc Noizet, a exprimé sa colère face à cette situation, dénonçant l’impossibilité pour les soignants de devenir des variables de l’angoisse, de l’agressivité ou de la violence des patients et de leurs accompagnants.

  • Des visiteurs saccagent l’entrée des urgences de l’hôpital de Challans en Vendée
  • Un brancardier en pause est sauvagement attaqué
  • L’agresseur en fuite, une enquête est ouverte
  • Le brancardier est en soins intensifs à cause de graves lésions
  • Le service des urgences a dû être fermé plusieurs heures
  • Une cellule de soutien psychologique mise en place pour les équipes

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