Une victoire mémorable pour le Fenix Toulouse #
Menés en début de match, les Toulousains ont réussi à renverser la situation pour finalement s’imposer avec une victoire solide de 36-30.
Malgré l’absence de leur gardien titulaire Lettens, Toulouse a su rebondir après un début difficile. Après un début de match marqué par une domination de Dunkerque, Toulouse a su réagir grâce à Ilic et Kempf pour équilibrer le score à 14-15 à la 23ème minute, mettant ainsi fin à la suprématie initiale de Dunkerque.
La gestion de Fenix Toulouse #
Dès le début de la seconde mi-temps, Toulouse a pris le contrôle du match, avec une avance de plus en plus grande. Kall a marqué à trois reprises et Franck Maurice, le coach nordiste, a tenté de stopper l’hémorragie avec un temps mort. Cependant, les Toulousains ont continué à bien gérer leur avance face à un Dunkerque inefficace en attaque.
En fin de match, malgré les efforts de Pelayo et Faustin pour réveiller leur équipe, l’USDK n’a pu rattraper son retard. Les Lions de l’USDK se sont finalement inclinés avec un score de 30-36 en faveur de Toulouse. Cette victoire permet à Toulouse de rêver encore plus fort d’Europe.
Dunkerque 30 – 36 Toulouse : les détails du match #
Le match a été marqué par différentes performances remarquables. Pour Dunkerque, Pelayo a été le meilleur buteur avec 11 tirs réussis sur 15. Malheureusement, cela n’a pas suffi pour mener son équipe à la victoire.
Pour Toulouse, Ilic a été le meilleur buteur avec 8 réalisations sur 12 tirs. La performance exceptionnelle de Toulouse a été complétée par Kall avec 7 buts sur 8 tirs et Martins Vieira avec 6 buts sur 7 tirs.
Voici un résumé des scores :
- Dunkerque : Kieffer (11 arrêts sur 32 tirs), Sejr Jensen (3 arrêts sur 17 tirs), Pelayo (cap.) 11/15 dont 1/2
- Toulouse : Paul (7 arrêts sur 37 tirs dont à 1 sur 2 à 7 m), Ilic (cap.) 8/12, Kall 7/8, Martins Vieira 6/7
Cette victoire de Toulouse est une preuve supplémentaire de leur détermination et de leur capacité à surmonter les difficultés pour atteindre leurs objectifs. Alors, jusqu’où ira le Fenix Toulouse cette saison ?
