Les détails de l’agression brutale de l’adolescente à Montpellier #
La victime a subi l’attaque le 2 avril, et trois suspects mineurs ont été arrêtés et interrogés par le Service local de police judiciaire (SLPJ) de Montpellier.
Les trois suspects mineurs ont admis leur implication dans l’agression et ont reconnu avoir frappé la victime. Le parquet a demandé la détention provisoire du suspect de 15 ans qui aurait porté les coups les plus violents.
Les réseaux sociaux, un catalyseur de violence #
Les investigations ont révélé que l’agression était en partie due à des tensions sur les réseaux sociaux. Les adolescents impliqués avaient l’habitude de s’insulter et de publier leurs photos et celles de tiers sur des groupes de discussion créés sur des messageries instantanées. Les tensions entre les suspects et la victime seraient en partie dues à ces publications.
Samara a été interrogée par les enquêteurs, malgré son état de santé précaire. Elle a confirmé les violences qu’elle a subies et a révélé des violences supplémentaires, commises quelques jours auparavant par l’un des trois suspects.
Suspense persistant : recherche d’autres participants présumés #
La recherche continue pour déterminer plus précisément les circonstances de cette agression particulièrement grave et pour identifier d’autres participants. L’enquête est menée sous la direction du magistrat instructeur.
Voici quelques points clés de l’affaire :
- Samara, une adolescente de 13 ans, a été violemment attaquée près du collège Arthur-Rimbaud à Montpellier le 2 avril.
- Trois mineurs ont été arrêtés et interrogés par le SLPJ de Montpellier. Ils ont admis avoir frappé la victime.
- L’agression a été en partie alimentée par des tensions sur les réseaux sociaux.
- Samara a révélé des violences supplémentaires subies quelques jours avant l’agression.
- Le parquet a demandé la détention provisoire du suspect de 15 ans qui aurait porté les coups les plus violents.
- Les enquêteurs cherchent à identifier d’autres participants à l’agression.