Un ancien commissaire de police se lance en politique #
Cette année, la surprise vient de Matthieu Valet, un ancien commissaire de police bien connu des médias, qui a décidé de se lancer en politique. Un choix surprenant qui a été annoncé lors de la Grande interview Europe 1-CNews, attirant ainsi l’attention de nombreux observateurs.
Matthieu Valet n’est pas un inconnu dans le paysage médiatique français. Ancien responsable de la BAC dans le Val-de-Marne, il a souvent été sollicité pour donner son point de vue sur les questions de sécurité. Aujourd’hui, c’est en tant que nouveau membre du Rassemblement national qu’il fait parler de lui.
Un choix politique assumé #
Matthieu Valet a choisi de rejoindre la liste du Rassemblement national pour les élections européennes. Un choix qu’il a expliqué au micro de Sonia Mabrouk, en affirmant sa fierté de rejoindre le mouvement populaire de Marine Le Pen et Jordan Bardella. Il se positionne en quatrième position sur la liste, derrière l’ancien patron de Frontex Fabrice Leggeri et l’essayiste Malika Sorel.
Il a également déclaré que la liste qu’il rejoint est, selon lui, essentielle pour redresser le pays et remettre la France en ordre. Un changement nécessaire selon l’ancien commissaire de police, qui estime que le pays est « en état d’urgence absolue ».
Un regard critique sur la situation du pays #
Matthieu Valet a une vision très critique de la situation actuelle du pays. Selon lui, les institutions françaises sont en train de s’effondrer. Il pointe du doigt la situation des hôpitaux, des agriculteurs, et des forces de l’ordre, tous sous pression et frappés par le suicide.
L’ancien commissaire de police est convaincu que le Rassemblement national sera le parti qui changera et redressera le pays. Il défend désormais le discours du Rassemblement national, affirmant qu’il ne rejoint pas un parti « anti-étrangers, mais un parti pro-Français ».
- Matthieu Valet, ancien commissaire de police et porte-parole du syndicat des commissaires de police
- Il rejoint la liste du Rassemblement national pour les élections européennes
- Il se positionne en quatrième position sur la liste
- Il estime que la France est « en état d’urgence absolue »
- Il défend désormais le discours du Rassemblement national
